Voldemort est de retour !

Voldemort, votre serviteur

Peut-être vous souvenez-vous de ce blog qui, de février 2011 à mai 2013, se voulait le poil à gratter de vos fins de semaine : impertinent, parfois (souvent ?) de mauvaise fois, souvent injuste, toujours direct, cash. Adepte d’un humour noir, mâtiné de mauvais goût, le Blog de Voldemort a comblé mes aficionados (il y en a) et hérissé mes détracteurs (il y en a aussi). Quelques titres de mes anciens billets :

  • Et maintenant, le changement : quelle histoire
  • Le petit, le nain et la ménagère
  • L’été meurtrier
  • François, tu me fais honte !
  • Les riches, c’est comme les cons : il y en a des gentils
  • Pour le retour à l’esprit de Munich
  • Votre prénom à vous, c’est François, c’est juste ?
  • Jean-François, tu as penser mettre ta Rolex à l’heure d’été ?
  • Ben oui, j’étais à deux doigts de ne pas y aller
  • Les trois constitutions

Voyez le genre ! 27 mois de diarrhée plumitive, traitant de politique (souvent), de questions sociétales, et de ces petites choses qui ont le chic pour m’énerver, m’insupporter… Donc, beaucoup de coups de gueule, mais aussi des coups de cœur. Et puis, petit à petit, la lassitude, l’impression, d’abord furtive puis de plus en plus lancinante, de me répéter, de finalement raconter toujours la même chose.  De vouloir soutenir un Président embarrassé par des frondeurs de plus en plus insupportables. Alors, un jour de fête de travail, après avoir exhumé un vieil article que j’avais rédigé en 2002 et proposé à celui qui m’apparaissait alors comme l’avenir de la gauche (un certain A.M.), je décidai que le temps de la pause était venu.

Depuis, ce 1er mai 2013, il s’est tout de même passé deux ou trois choses qui peuvent justifier un retour à l’inspiration. Alors, à l’aube d’un changement (personnel) pouvant autoriser quelques temps libres propres à la rédaction, j’ai décidé de sortir Voldemort de la housse naphtalinée où je l’avais rangé. Et donc, si tout va bien, demain, avant Complies, vous devriez avoir avoir l’immense plaisir de retrouver ma prose.

Le sujet ? Il s’impose non ?

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